Les collectifs de victimes sont
prévenus que la justice de 2025 ne saurait condamner des faits
prescrits (prescription de 6 ans) cependant, des témoignages (50 –
bien plus nombreux ensuite - nouveaux ajouts le 08 10 2025 ) sous la forme administrative requise,
sont déposés chez le procureur de la République de Brest (Parquet)
le 2 avril 2025 afin de s'assurer qu'il n'y ait pas une façon
« indirecte » de poursuivre dans l'affaire du collège Saint Pierre du Relecq-Kerhuon.
19 février 2025,
Assemblée Nationale : la commission des affaires culturelles a
demandé à disposer des prérogatives d'une commission
d'enquête selon l'article
5 ter de l'ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958, à
propos des modalités du contrôle par l'État et de la
prévention des violences dans les établissements scolaires pour une durée de six mois, dès le 21 février 2025
et disposant à ce titre de deux co-rapporteurs.
20 mars 2025 début des auditions de
plusieurs collectifs de victimes. Le collège Saint Pierre du
Relecq-Kerhuon n'est pas le seul établissement scolaire a s'être
laissé emporter par les dérives violentes, 12 autres établissements
sont désignés en même temps, grâce à des témoignages de
victimes, comme étant des lieux ayant appliqué une discipline
disproportionnée et illégale.
La commission d'enquête n'a pas
vocation à désigner nommément des responsables, elle souhaite
établir les manquements de l'organisation du contrôle des
établissements privés qui ont bénéficié à minima d'une
complaisance étatique dans la modeste fréquence de ces contrôles
académiques et du peu d'investigations diligentées lors de ceux-ci. Les établissements, en général, étaient prévenus 15 à 20 jours avant, de la visite d'un inspecteur...
L'Eglise et ses écoles se sont
toujours considérées comme des voies parallèles aux arcanes de la
République, et la République leur a laissé cette illusion jusqu'à
ce qu'elle devienne une habitude convenue.
Le système politique sachant que
fouiner du côté de l'enseignement religieux était source de
récriminations de la part de certains électeurs, l'image de
respectabilité de l'Eglise étant aussi établie que surfaite, la
prudence électorale conseillait une distanciation dans l'application
de la législation. L'Etat, par des vues politiciennes, a facilité
la propagation de la violence corporelle et psychologique dans
l'enseignement privé. Bien que toutes les écoles privées n'aient
pas eu recours à cette violence "éducative", toutes les écoles
privées pouvaient choisir d'y souscrire tant que le silence régnait.
Sachant que les élèves battus ne révélaient rien à leurs parents
pour la plupart, le silence prospéra allègrement.
Si la voie judiciaire semble alors
éteinte en 2025, le travail de la commission parlementaire orienté
vers l'imprescriptibilité des faits de violences sur mineurs est
escomptée et jugée comme une compensation appréciable par les
collectifs de victimes des écoles dévoyées.
°°°
En 2025 deux numéros de téléphone
sont en service : 119 enfance en danger. 3018 harcèlement.

Le collège
Fondateur de l'école St Pierre • L'histoire du collège St Pierre • Le directeur • Sous-directeur • Le recrutement • Les professeurs • La mixité • Le silence des élèves • Le plaisir dans la violence • Le directeur des collèges • Responsabilités des parents • Témoignage • Victimes
Institution religieuse
Communiqué de presse • Dissimulations des autorités religieuses • Déclarations imprudentes • Les institutions savaient • Direction de l’Enseignement catholique • Autonomie de l'enseignement privé • L'Eglise pardonne
Le contexte
Mai 1968 • L'histoire du Relecq-Kerhuon • Le CES insatisfaisant • Palmes académiques • La presse muette • Avis maladroits
La législation
Déccret 1887 • Loi 1959 • Décret 2025 • Le parquet de Brest • Les suites judiciaires attendues • L'anonymat obligé • L'audition par la commission d'enquête • Les établissements coupables